VOYOUCRATIE POPULISTE À LA FECAFOOT / POPULIST VOYOUCRACY AT THE FECAFOOT

VOYOUCRATIE POPULISTE À LA FECAFOOT

Ce racisme à l’envers anti-occidental auquel recourent systématiquement les panafricains de pacotille en manque d’arguments objectifs et pertinents.

Nous osons croire que tous ces Camerounaises et Camerounais qui applaudissent les cris xénophobes et racistes de Samuel Eto’o sur le sélectionneur Belge des Lions indomptables Marc Brys ne se plaindront plus de la relative indifférence teintée de mépris affichée généralement par les sociétés occidentales envers leurs dirigeants.

Parce qu’un décideur public qui se comporte aussi sauvagement envers un partenaire ou collaborateur étranger mérite uniquement du mépris. Surtout lorsqu’il aime afficher sa grande proximité et aisance en occident en compagnie de ces mêmes occidentaux qu’il s’empresse d’humilier en mondovision dès qu’il retourne au Cameroun sous les ovations de ses admirateurs fanatisés.

Gardez à l’esprit que le Cameroun n’est pas ou plus un de ces pays Africains qui inspirent le respect unanime à l’étranger, en particulier à cause du comportement malhonnête de ses ressortissants souvent des binationaux non ou mal assumés, c’est-à-dire de vulgaires frustrés.

Simplement pas apte à diriger une organisation

En effet si c’est ainsi que ce monsieur dirige la Fédération Camerounaise de Football (Fécafoot), au motif qu’il a « été un très grand joueur en Europe » (ce que personne ne lui dénie), ne soyez pas surpris du fiasco généralisé dans les différentes sélections nationales.

Son comportement relève non seulement du mélange vulgaire et brutal des genres, mais d’une totale incompréhension, méconnaissance – frôlant avec le mépris ignorant – des institutions de toute République, quelle que fût la longueur de son « bras long ».

La honte suprême.

À cet égard, est-ce la manière de gérer les services publics? N’y a-t-il pas des canaux appropriés pour gérer des désaccords comme ceux-ci? Pouvons-nous résoudre les affaires gouvernementales dans la rue? À l’évidence NON

D’où la question centrale de la responsabilité

En effet, ce Mano à Mano mortifère ne sert qu’à renforcer une culture politique de gladiateurs qui prospèrent grâce à la délégitimation et à la suppression des institutions; puis à punir par une culture politique de chasse aux sorcières institutionnalisée tous ceux qui sont perçus comme déloyaux envers les caciques du régime!

Au CL2P/ICL2P, nous sommes d’accord avec l’ancien président Obama sur le fait que l’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts mais d’institutions fortes.

L’Institut du Comité de Libération des Prisonniers Politiques – ICL2P / CL2P

http://www.cl2p.org

Le racisme inversé ou à l’envers expliqué aux admirateurs fanatisés de Samuel Eto’o au Cameroun 


Mesdames et Messieurs,


– Soit vous faites semblants de ne pas voir et comprendre,


–  Soit vous adhérez sans l’avouer à cette forme caractérisée de racisme inversé ou à l’envers consistant à renvoyer ou réduire votre interlocuteur à sa nationalité ou/et ou à son ethnie, voulue en l’occurrence dominante ici, du fait de l’origine Belge et blanche du sélectionneur des Lions Indomptables, Marc Brys.


Alors même que le contexte et l’environnement ne s’y prêtent pas, votre idole lui a en réalité signifié qu’il était (lui Samuel Eto’o) chez lui au Cameroun où Marc Brys n’a pas droit de cité et donc droit  au chapitre, malgré qu’il a été engagé par l’Etat du Cameroun (son véritable employeur, non la Fédération Camerounaise de Football). Il ne peut donc pas s’y sentir ou agir comme s’il était chez lui (en Belgique), et à plus forte raison s’adosser à une force ou puissance publique que M. Eto’o estime malhonnêtement ne pouvoir réciproquement prétendre en Belgique. C’est faux!


Il s’agit ici d’un populisme abrutissant des masses, sous-jacent à une entreprise xénophobe et raciste visant notamment à s’attirer la sympathie de tous les frustrés et mendiants générés par la mauvaise gouvernance au Cameroun, qui ne connaissent pour ainsi dire que la privation des libertés et des droits de toutes sortes. Ils en attribuent à tort ou à raison souvent par lâcheté la cause à la prévalence supposée d’une exploitation coloniale des occidentaux blancs, dont Marc Brys en serait le digne représentant. 


Mais tous ces adeptes du racisme anti-blancs à l’envers ignorent précisément que dans les sociétés démocratiques (bien qu’imparfaites), Marc Brys et Samuel Eto’o, citoyens de pays membres de l’union européenne, peuvent formellement se prévaloir des mêmes droits et devoirs, contrairement au favoritisme institutionnalisé et aux passe-droits dont jouit allègrement M. Eto’o dès qu’il est en terre Camerounaise, où absolument TOUT lui est permis.


Voilà expliqué en mots – je l’espère simples, faciles et clairs – la xénophobie et le racisme à l’envers ou inversé que l’on peut craindre de voir se répandre dans certaines couches populaires au Cameroun, à travers le différend qui oppose le ministère des sports à la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot).


Il faut le prévenir et surtout le combattre vivement. 


Parce qu’il sert de couverture cynique à un échec cuisant dans la gestion du football camerounais ces dernières années (toutes les sélections nationales confondues).


Je vous remercie 



Joël Didier Engo, CL2P

English version

POPULIST VOYOUCRACY AT THE FECAFOOT

This anti-Western reverse racism to which junk Pan-Africans systematically resort in lack of objective and relevant arguments.

We dare to believe that all those Cameroonians who applaud the xenophobic and racist cries of Samuel Eto’o against the Belgian coach of the Indomitable Lions Marc Brys will no longer complain about the relative indifference tinged with contempt generally displayed by Western societies towards their leaders.

Because a public decision-maker who behaves so savagely towards a foreign partner or collaborator deserves only contempt. Especially when he likes to display his great proximity and ease in the West in the company of these same Westerners whom he hasten to humiliate on international television as soon as he returns to Cameroon to the ovations of his fanatic admirers.

Keep in mind that Cameroon is not or no longer one of those African countries which inspire unanimous respect abroad, in particular because of the dishonest behavior of its nationals, often non-or poorly assumed dual citizenship, it is that is to say, frustrated vulgarians

Simply not fit to lead an organization

Indeed, if this is how this gentleman runs the Cameroonian Football Federation (Fécafoot), on the grounds that he « was a very great player in Europe » (which no one denies him), do not be surprised by the fiasco generalized in the different national selections.

His behavior reflects not only the vulgar and brutal mixing of genres, but a total incomprehension, ignorance – bordering on ignorant contempt – of the institutions of any Republic, whatever the length of its « long arm ».

Poor Cameroon: we are ashamed.

In this respect, is this the way to manage public services? Aren’t there appropriate channels to handle disagreements like these? Can we solve government affairs on the streets?

Hence the central question of responsibility

Indeed, this deadly mano a mano only serves to reinforce a political culture of gladiators who thrive on delegitimization and suppression of institutions and to punish through a political culture of institutionalized witch hunting against all those who are perceived as disloyal to the leaders of the system!

At the CL2P/ICL2P, we agree with former President Obama that Africa does not need strong men but strong institutions.

The Committee For The Release of Political Prisoners Institute – ICL2P / CL2P

http://www.cl2p.org

Cet article, publié dans Non classé, est tagué , , , , , , , , , . Ajoutez ce permalien à vos favoris.

Laisser un commentaire