CAMEROUN: MONSIEUR BIYA, LIBÉREZ MARAFA HAMIDOU YAYA AVEC TOUS LES AUTRES PRISONNIERS POLITIQUES. MAINTENANT

Le crime crapuleux, marque déposée de la «démocratie avancée» à la Camerounaise

#JusticePourMartinezZogo: image particulièrement choquante et inhumaine, mais qui mériterait d’être vue par tous ceux qui coopèrent avec la tyrannie camerounaise, à l’intérieur et à l’extérieur

Paul Biya « responsable mais pas coupable » de l’assassinat crapuleux du journaliste Martinez Zogo

Le dictateur camerounais sait en effet parfaitement lequel des deux clans mafieux autour de lui a perpétré l’assassinat crapuleux du journaliste Martinez Zogo…

Le fait qu’une série d’indices puissent accabler celui des messieurs Amougou Belinga, Motaze, Esso…ne lave pas complètement les soupçons qui peuvent également peser sur le clan de l’oncle de la première dame du Cameroun Ferdinand Ngoh Ngoh, Martin Mbarga Nguele, etc… qui manipulait à sa guise le journaliste disparu, en lui fournissant toute une série de documents confidentiels sans pour autant lui garantir toute la sécurité nécessaire.

Ces derniers auraient ainsi tout aussi pu se servir de son assassinat macabre pour discréditer à jamais leurs principaux concurrents du clan adverse auprès de l’opinion publique, dans la guerre de succession dite « de gré à gré » visiblement ouverte à la présidence de la République du Cameroun.



Soyons vigilants en évitant soigneusement d’être manipulés à notre tour par des vampires d’une cruauté sans limite.

Ceux qui ont suivi le mode opératoire des assassins de la secrétaire du prisonnier politique Marafa Hamidou Yaya, Mme Christiane Soppo Mbango, peuvent retrouver des similitudes troublantes dans la liquidation brutale du journaliste Martinez Zogo.


En effet le professionnalisme avec lequel ont opérés les ravisseurs et tortionnaires dans ces deux meurtres porte la signature des forces spéciales placées au Cameroun sous la tutelle directe de la présidence de la République. De simples gros bras payés par un affairiste à la réputation sulfureuse auraient quelques difficultés à commettre seuls un crime aussi crapuleux avec une telle minutie sur un animateur radio très apprécié du grand public.

Nous pouvons évidemment nous tromper dans notre analyse, mais invitons néanmoins les uns et les autres à n’écarter aucune des deux pistes dans leurs « investigations » personnelles. Du moins tant que l’État du Cameroun n’aura pas formellement identifié puis inculpé les auteurs et les commanditaires de l’assassinat de Martinez Zogo, vraisemblablement dans l’un des deux clans. Parce que chacun de ces deux avait effectivement toutes les (bonnes ou mauvaises) raisons de commettre ce crime effroyable.

Le Comité de libération des prisonniers politiques – CL2P

CAMEROUN: « RÉPUBLIQUE DE SCANDALES » ET ÉTAT CRIMINEL

Dans la guerre des clans que se livrent les pontes du régime sanguinaire de Paul Biya, certains voudraient évidemment nous faire oublier leurs scandales financiers (fonds de la CAN, COVID-19, SAVANNAH ENERGY etc…systématiquement détournés) en agitant les crimes de sang perpétrés par les autres, comme si le peuple camerounais était manipulable et amnésique à souhait.

Eh ben non messieurs Ferdinand Ngoh Ngoh et compagnie, vous serez autant rattrapés par l’inventaire inéluctable sur les crimes d’Etat perpétrés sous l’interminable règne de Paul Biya (90 ans, 40 ans de pouvoir absolu), que ceux de vos alter-egos Laurent Esso et Louis-Paul Motaze empêtrés dans l’assassinat crapuleux du journaliste Martinez Zogo.

Rien ne sera plus comme avant!!!

LA JUSTICE, TOUTE LA JUSTICE, ET UNIQUEMENT LA JUSTICE

Aucune diversion, distraction, ou imposture politico-judiciaire ne nous détournera de l’exigence de JUSTICE sur l’assassinat crapuleux du journaliste Martinez Zogo et tous les autres crimes d’État au Cameroun.

En effet le plus consternant comme face à la camorra, c’est de constater que généralement leurs commanditaires et auteurs sont parfaitement connus des Camerounais, aisément identifiables, mais protégés par tous les artifices et compromissions divers afin d’éviter toute inculpation et condamnation judiciaire.

Parce que fort du climat de terreur généralisée, puis de leur puissance clanique dans une gouvernance tribalisée à l’extrême, ces criminels d’Etat n’encourent jusqu’à présent aucune réelle peine de prison dans ce pays livré désormais à leurs escadrons de la mort, notamment quand ils siègent de manière discontinue au gouvernement comme Laurent Esso ou Louis Paul Motaze, au point d’être des rouages essentiels de la machine à terreur de Paul Biya.

Autant dire que nous ne nous contenterons pas de la mise en détention préventive du gangster affairiste et ethno-fasciste Jean-Pierre Amougou Belinga dans l’affaire MARTINEZ ZOGO.

Comme des chasseurs de Nazis cela nous oblige moralement à œuvrer inlassablement afin de TOUS les faire inculper puis condamner dans d’autres pays reconnaissant la compétence universelle, dont la France, pour tous ces crimes crapuleux, contre l’humanité, de guerre et même de génocide perpétrés en toute impunité au Cameroun depuis 40 ans.

Aucune société humaine ne peut et ne doit à ce point se résigner devant un État criminel.

En cette période de terreur généralisée au Cameroun, n’oublions surtout pas les prisonniers personnels de Paul Biya, dont Marafa Hamidou Yaya, ancien ministre d’État Secrétaire général de la présidence de la république détenu arbitrairement depuis avril 2012 au Cameroun.

Photo: Hommage à Jeannette Noura Marafa, l’inspiratrice du CL2P en sa forme actuelle, décédée à Paris le 25 août 2017 après avoir livré un long combat pour la libération de son mari Marafa Hamidou Yaya sequestré depuis dix (10) années par le dictateur Paul Biya (90 ans, 40 ans de règne) et son épouse Chantal Biya. Une inestimable considération et un souvenir inaltérable pour cette infatigable camarade de lutte pour la libération des prisonniers politiques au Cameroun.

La cruauté rancunière d’un vieux tyran est sans limite et tenace…
 
Songe-t-il un instant après son départ ce que deviendront les siens, après avoir infligé autant de souffrances à de parfaits innocents, maintenus arbitrairement en détention sur des accusations fallacieuses (« complicité intellectuelle de détournement de deniers publics » pour le ministre d’Etat Marafa Hamidou Yaya)? On peut sérieusement en douter, tant son pouvoir carbure littéralement à la mort des Camerounais…
 
Leur silence assourdissant indique étonnamment que ces derniers dans leur écrasante majorité trouvent « parfaitement normaux » ces traitements particulièrement inhumains, dans leur accoutumance depuis 40 ans à l’élimination notamment physique des ennemis ou adversaires désignés du dictateur de 90 ans.
 
Il faudra inévitablement faire la lumière, toute la lumière, sur toutes ces disparitions sous le régime de Paul Biya.
 
Nous tiendrons à notre engagement auprès des victimes ou leurs ayant droits (pour celles d’entre-elles qui ont malheureusement laissé la vie dans cet enfer carcéral ou sous l’emprise de la torture).
 
Vivement déconseillé d’être compétent et visionnaire au sein du sérail d’une dictature crasse.
Elle s’empresse de vous éliminer…
 
C’est le cas de Marafa Hamidou Yaya, ancien Secrétaire général de la présidence de la République détenu arbitrairement au Cameroun depuis avril 2012 sous une grotesque et fallacieuse accusation de « complicité intellectuelle de détournement de deniers publics », née de l’imagination fertile du dictateur Paul Biya.
Rappelons que le principal accusé et condamné dans ce procès Kafkaïen Yves Michel Fotso a été libéré depuis quelques années pour urgence médicale suivie d’une évacuation sanitaire à l’étranger où il s’est définitivement établi. La même évacuation pour urgence humanitaire qu’attend désespérément le prisonnier politique Marafa Hamidou Yaya dans sa minuscule cellule du Secrétariat d’Etat à la Défense (SED de sinistre réputation) à Yaoundé.
 
Évidemment Emmanuel Macron qui a séjourné au Cameroun en juillet 2022, malgré nos multiples sollicitations, s’est manifestement (contrairement à tous ses prédécesseurs) toujours gardé d’interpeler son homologue camerounais Paul Biya sur la persistance de ces séquestrations politiques dans de véritables camps concentrationnaires du régime de Yaoundé.
 
Ce ne serait certainement pas pour cette fois-ci, et pour tout dire nous n’attendons absolument rien du Président Français actuel sur les questions relatives à la Défense des Droits Humains et singulièrement la libération des prisonniers politiques au Cameroun, comme dans le reste du continent Africain.
 
Pure perte de temps et d’énergie malheureusement!!!
 
Joël Didier Engo, Président du Comité de libération des prisonniers politiques – CL2P
 
Précision d’importance: Mme Jeannette Marafa sur la photo avec son époux Marafa Hamidou Yaya est malheureusement morte en exil à Paris suite à cet acharnement sans nom de la dictature de Paul Biya. Elle repose dans un cimetière de la capitale française.

Marafa Hamidou Yaya évacuation sanitaire

Cameroun: le refus délibéré de Paul Biya d’évacuer Marafa Hamidou Yaya à l’étranger
 
Attendre désespérément le « pardon » d’un tyran quand on est innocent c’est entériner la prévalence d’un arbitraire moyenâgeux au Cameroun…
 
Alors que dans le même temps l’accusé principal dans votre procès inique, Yves Michel Fotso, jouit d’une totale liberté à l’étranger depuis des années, précisément pour un motif d’évacuation sanitaire. Puis que des criminels économiques notoires comme Basile Atangana Kouna ou Jean Pierre Amougou Belinga bénéficient eux de la toute clémence de Paul Biya.
 
La décence commande dès lors de libérer enfin Marafa Hamidou Yaya et tous les autres prisonniers personnels du dictateur camerounais. Ce d’autant qu’il est enfin établi que sa lutte prétendue contre les détournements publics n’était qu’un grossier mensonge d’État dans le cadre d’une épuration politique parfaitement huilée.
 
En effet rarement l’actualité camerounaise n’a autant donné raison au CL2P qu’avec les révélations qui ont précédé voire causé l’assassinat crapuleux du journaliste Martinez Zogo.
 
Nous lui serons à jamais reconnaissants.
 
Joël Didier Engo, Président du Comité de libération des prisonniers politiques – CL2P
 
DES CAMEROUNAIS CRIENT FAMINE PENDANT QUE LES BIYA S’OFFRENT DES RÉSIDENCES DE LUXE EN EUROPE, NOTAMMENT EN FRANCE, AVEC LA COMPLAISANCE DES AUTORITÉS FRANÇAISES
Les Biya
 
 Avec l’argent ainsi dilapidé dans une certaine complaisance des autorités françaises, de nombreux Camerounais comme ceux de l’extrême nord souffriraient vraisemblablement moins de mal nutrition et de famine….
 
Il faut tout aussi noter le silence assourdissant de nombreux griots et courtisans du despote camerounais depuis la publication de l’enquête fouillée du Nouvel Observateur, eux qui ont pourtant brillé ces trois dernières décennies dans le lynchage de parfaits boucs émissaires dans les réseaux sociaux, les forums de discussion et la presse de caniveau à la solde du régime de Yaoundé.
 
….Cela permettait visiblement de couvrir l’enrichissement ostentatoire des proches parents et collaborateurs de Paul Biya, impliqués dans diverses malversations financières, dont ces acquisitions immobilières illicites récemment répertoriées par les journalistes Français.
 
Nous sommes bel et bien ici en présence de biens notoirement mal acquis par des personnes ne justifiant parfois d’aucune activité professionnelle. Ils devront faire l’objet d’une saisie de la Brigade financière, et le produit des ventes restitué comme pour la Guinée Équatoriale à des œuvres concourant au bien être des populations camerounaises.
 
Le temps de la diversion politique à travers une imposture de lutte contre la corruption menée avec la complicité d’une presse alimentaire au Cameroun, est terminée.
 
Nous y veillerons!!!
Pipeline Doba-Kribi: les raisons de la colère Tchadienne
Tchad Savannah
 
Le rappel de son ambassadeur par le Tchad est une réaction logique d’un pays qui n’accepte pas que ses intérêts vitaux – ici pétroliers- soient pris en otage par des groupuscules mafieux au Cameroun, opérant depuis le Palais présidentiel d’Etoudi à Yaoundé.
 
Ces derniers se dissimulent en effet derrière « Savannah Energy » bénéficiant de l’appui de la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), afin notamment de mettre la main sur les revenus générés et reversés à l’État du Cameroun par le pipeline Doba-Kribi…
 
C’est Frank Emmanuel Biya, le fils du dictateur Paul Biya qui est à la manœuvre. Voulait-il ainsi financer ses ambitions présidentielles, qu’il se serait pris autrement.
 
Pauvre Cameroun
 

C’EST LA CULTURE TYRANNIQUE DE LA RÉPRESSION CARCÉRALE DES ENNEMIS DÉSIGNÉS DU DICTATEUR QUE NOUS DEVONS COLLECTIVEMENT ET SOLIDAIREMENT REJETER AU CAMEROUN, SANS AUCUNE EXCEPTION

Photo: le prisonnier politique Marafa Hamidou Yaya, séquestré depuis 11 ans au SED, ici à la sortie de son procès Kafkaïen sous les acclamations de ses partisans à Yaoundé en 2013

Le Secrétariat d’État à la Sécurité (SED) est depuis au moins 03 décennies cette prison spéciale où Paul Biya séquestre ses prisonniers personnels en plein centre de Yaoundé, dans l’indifférence générale des autoproclamés uniques grands résistants et combattants à la dictature de Yaoundé.

Parfois quand j’entends certains agitateurs sur les réseaux sociaux et forums camerounais se passer pour des grands résistants et combattants à la dictature de Paul Biya, notamment depuis la contestation électorale de 2018, j’ai simplement envie de leur dire que leur esprit sectaire est certainement le plus grand allié du régime de Yaoundé.

Parce que, en taisant, ignorant ou minimisant délibérément par pure mesquinerie politicienne les sévices et traitements inhumains endurés pendant des décennies par les prisonniers politiques personnels de Paul Biya, comme Titus Edzoa, Thierry Michel Atangana, Marafa Hamidou Yaya, Polycarpe Abah Abah et bien d’autres encore….séquestrés souvent dans sa prison spéciale du Secrétariat d’Etat à la Défense (SED), ces « opposants » sectaires éloignent encore plus le Cameroun de toute perspective de sortie coordonnée et solidaire d’une terreur systémique véritablement institutionnalisée depuis 40 ans.

Photo: le Français Thierry Michel Atangana dans la cellule où il a été séquestré pendant 17 ans au sous-sol du Secrétariat d’État à la Défense (SED) de Yaoundé

Voilà ce qui rend la situation politique dans ce pays particulièrement désespérée, voire insoluble, avec toutes ces victimes anciennes et potentielles qui biaisent en permanence avec une triste réalité, dont ces libertés fondamentales qui doivent être défendues indifféremment des appartenances partisanes, ethniques ou régionales. Car certains d’entre-nous avons vu nos proches parents et familles littéralement broyés par ce régime de terreur de Yaoundé depuis trois décennies dans une relative complaisance de ses victimes plus récentes.

Elles pensent certainement que c’est cela «faire de la politique» (comme l’entendent les Camerounais), en sacrifiant pour ce faire ceux qui auraient le principal tort d’avoir appartenu au pouvoir en place. Sans réaliser justement qu’en enterrant ceux-là vivants pendant des décennies dans une prison spéciale du dictateur comme le SED, elles créent les conditions de leur propre embastillement perpétuel, fermant définitivement l’espoir d’une alternance démocratique au Cameroun.

Malheureusement

Joël Didier Engo, Comité de Libération des Prisonniers Politiques – CL2P

http://www.cl2p.org

Jeune Afrique: Le SED, cette prison « née de la peur » du régime Biya

 
La Justice aux ordres des hautes instructions de Paul Biya au Cameroun libère Basile Atangana Kouna
 
Depuis au moins deux (02) décennies je dénonce dans une certaine indifférence générale des Camerounais cette instrumentation de la Justice par le dictateur Paul Biya (89 ans, 40 années de règne) au Cameroun.
Vous en avez l’illustration ici avec la libération d’un ancien ministre notoirement corrompu, ancien fugitif, libéré avec l’aide des réseaux mafieux du régime sous le prétexte fallacieux qu’il aurait remboursé « le corps du délit » (délibérément sous évalué)…
 
injustice
C’est véritablement le triomphe de l’arbitraire le plus moyenâgeux et crapuleux dans un pays où nombre de ressortissants sont incapables malheureusement de défendre la moindre cause juste sans céder à la tentation du repli partisan, communautaire, sectaire, ethno-tribal, et même tribaliste.
 
Camerounais, sans un sursaut républicain collectif, vous subirez le dicktat successoral qui est entrain d’être mis en place par les réseaux ethno-fascistes de la dictature de Yaoundé. Et ce n’est pas faute de vous avoir longuement prévenus!!!
 
Nous continuerons quant à nous au CL2P d’exiger inlassablement la libération de toutes les personnalités innocentes embastillées par le dictateur Paul Biya depuis des années dans le cadre d’une lente épuration politique visant en réalité à éloigner progressivement de la vie publique tous les potentiels candidats crédibles qui pourraient faire obstacle à la succession dynastique projetée.
 
Joël Didier Engo, Président du Comité de libération des prisonniers politiques – CL2P
 

MONSIEUR PAUL BIYA, NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS MORTELS

Mortels

Le mépris affiché par Paul Biya à l’égard des Camerounais, de qui il prétend tenir son pouvoir à vie depuis 39 ans…se passe de commentaire.
 
Par respect de la mémoire de sa sœur décédée à l’âge de 102 ans. Toutes nos condoléances

LES DEUX VISAGES DE LA DICTATURE CAMEROUNAISE : joyeuse, moderne et affectueuse dans l’image véhiculée sur les médias et auprès des partenaires internationaux par la première dame. Puis d’une insoupçonnable cruauté envers ses victimes, avec bien évidemment l’accord implicite et parfois effectif – notamment pour certains célèbres prisonniers politiques – de la même première dame.

Biya famille

C’est une dimension qu’il faut toujours prendre en considération chaque fois qu’un régime sanguinaire prend fin; comme celui de Nicolae et Elena Ceausescu en Roumanie il y a exactement 30 ans.

Ceuchescou

https://www.youtube.com/watch?v=hgZ-r9v2_mo

En effet, un être humain ne partage pas la vie d’un despote sans adhérer d’une manière ou d’une autre à son système de terreur. Surtout lorsqu’il dispose des éléments de comparaison grâce à des séjours, des résidences, des nationalités de pays démocratiques.

NON À LA RÉSIGNATION ET LA COMPLAISANCE DEVANT UN DÉNI SYSTÉMIQUE DES CRIMES DE GUERRE ET CONTRE L’HUMANITÉ AU CAMEROUN

Ngarbuh-victims

Le Cameroun est malheureusement devenu ces dernières années, à l’instar du Rwanda d’avant le Génocide, le pays où des universitaires devenus des idéologiques ethno-fascistes au service du régime en place, des hauts dignitaires du gouvernement et même des fervents partisans de Paul Biya (89 ans, 40 années de règne) incitent au vu et au su de tous sur les plateaux de télévision et de radios (notamment publics) et dans les réseaux sociaux en toute impunité (moyennant des promotions professionnelles et politiques) aux massacres des populations civiles (notamment anglophones), dans un négationnisme voire révisionnisme officiel des crimes de guerre et contre l’humanité perpétrés par l’armée.

Évitons la résignation et la complaisance, notamment en France, devant ce déni systémique des crimes de guerre et contre l’humanité, tel qu’il ressort de ce rapport incomplet sur le massacre de Ngarbuh!!!

LE CAMEROUN DES BONS ET DES MAUVAIS BOURREAUX

atrocité du régime

Si nous voulons le retour à la paix civile au Cameroun, ne soyons silencieux et complaisant sur aucune atrocité, revendiquons collectivement la mise en place d’un tribunal criminel spécial sur le Cameroun.

Je suis Kumba

L’URGENCE D’UNE ENQUÊTE INTERNATIONALE SUR LES CRIMES DE GUERRE, CONTRE L’HUMANITÉ, VOIRE DE GÉNOCIDE

Condamner cette barbarie sans nom, nous le faisons depuis la dérive de la crise anglophone en guerre civile en octobre 2016…
 
Est-ce pour autant que nous devrions mettre notre discernement en sourdine, face notamment à des crimes contre l’humanité, de guerre, voire de génocide qui portent la marque de belligérants solidement armés, savamment informés, bénéficiant incontestablement de bonnes connexions au sein de l’appareil de l’État répressif;…comme le laissent penser les blessures infligées aux jeunes victimes de ce jour à Kumba? À l’évidence non.
 
Qui sont donc ces supposés groupuscules armés dits « sécessionnistes » capables de s’en prendre de la sorte à des populations civiles anglophones, pour lesquelles ils disent se battre contre une « armée d’occupation »?
Il n’y a à l’évidence qu’une enquête internationale indépendante qui puisse y faire toute la lumière, à défaut ou parallèlement à la mise sur pied d’une commission vérité et réconciliation post-conflit.
 
Il faut en finir avec le sentiment d’impunité des différents belligérants de cette sale guerre anglophone.
C’est la voie incontournable pour un rétablissement de la paix.
 
 

Corruption systémique au Cameroun…et manœuvres de diversion

Le dictateur Paul Biya et ses principaux collaborateurs se moquent en réalité des Camerounais en agitant de parfaits lampistes sous la pression des bailleurs internationaux , une manière de faire diversion afin notamment de couvrir les véritables bénéficiaires des rétrocommissions et surfacturations des marchés publics….

Gardez surtout à l’esprit que les pires crapules de cette république bananière ne séjournent pas dans ses prisons mouroirs, mais trônent imperturbablement à des fonctions essentielles du dispositif sécuritaire et exécutif du pouvoir en place.

CAMEROUNAIS, VOUS DÉCOUVREZ AVEC LE SCANDALE GLENCORE LA GROSSE FARCE QU’A ÉTÉ LA PRÉTENDUE LUTTE CONTRE LA CORRUPTION SOUS LA DICTATURE DE PAUL BIYA (89 ANS, 40 ANS DE POUVOIR)…
 
Soyez aussi incisifs que vous avez été dans le lynchage des hautes personnalités arbitrairement maintenues dans les prisons mouroirs de la République, en exigeant désormais leur libération immédiate auprès du dictateur Paul Biya (89 ans, 40 ans de pouvoir absolu).
 
PETITE PIQÛRE DE RAPPEL DONC À TOUS LES PARTISANS MALHONNÊTES DU DICTATEUR PAUL BIYA, PUIS À TOUS LES AUTRES TRIBALISTES, QUI ONT TOUS LA PARTICULARITÉ D’AVOIR LA MÉMOIRE COURTE ET SÉLECTIVE
 
Glencore RFI
 
DITES-NOUS À QUI ONT VÉRITABLEMENT ÉTÉ VERSÉS

LES RETROCOMMISSIONS DE GLENCORE???

 
 
Même si on le devine aisément, qui sont donc les dirigeants de la SNH et de la Sonara qui ont été corrompus à hauteur de 21 millions d’Euros par Glencore, comme certifié dans les aveux aux Justices américaines et Britanniques des dirigeants de ce groupe?
 
Au regard du silence ambiant, il faudrait plus regarder du côté de la Présidence de la République du Cameroun, notamment au sein de la famille dite présidentielle, qui a le contrôle total des flux financiers dans ces deux entreprises, pour savoir le fin mot de l’histoire.
 
Et dire que Kim Jon Biya et sa clique divertissent les Camerounais depuis trois (03) décennies en prétendant mener une lutte contre la corruption à tête chercheuse, qui est en réalité une épuration politique avec une justice entièrement à leurs ordres.
 
Pauvre Cameroun!
 
C’est en réalité plutôt devant les instances judiciaires internationales que M. BIYA, ses proches parents et collaborateurs devraient être poursuivis dans des dossiers comme celui-ci où le corrupteur est passé aux aveux. La législation internationale le permet désormais.
 
Des expertises juridiques comme celle de Me Akere Muna combinées avec l’engagement d’une ONG comme Transparency Internationale seraient indéniablement déterminants dans la manifestation de toute la vérité et la confiscation des avoirs des inculpés.
 
En effet il faut en finir avec une diversion criminelle qui a consisté à broyer littéralement les carrières professionnelles et les vies de personnalités innocentes au Cameroun, suspectées qu’elles ont été injustement de nourrir des ambitions présidentielles en raison de leur charisme puis de leur compétence unanimement reconnue.
 
Sortons enfin de l’hypocrisie criminelle au Cameroun !!!
Glencore4

Le régime de Paul Biya et la descente aux enfers sélective de ses dignitaires: un rouleau compresseur immuable…depuis trois décennies

Étrangement les concernés se pensent toujours immunisés, soit par leur proximité villageoise ou tribale revendiquée avec la famille régnante, soit par leur allégeance aux clans et réseaux affairistes, clientélistes et tribalistes qui structurent et entretiennent la perpétuation du système totalitaire et corrompu en place.

Jusqu’à ce que ce dernier les emporte et qu’ils se rappellent alors de toute l’importance d’un État de droit, des défenseurs des droits humains et même des libres penseurs puis des éveilleurs de conscience dans un environnement de terreur tropicale généralisée comme au Cameroun.

Continuons donc malgré l’affront, le déni systémique et même le mépris souverain à prôner le strict respect des valeurs humaines et républicaines, sans lesquelles ce pays ne pourra pas se relever d’une aussi longue culture de gouvernance autoritaire et personnelle.

« L’injustice où que ce soit est une menace pour la justice partout ».

JusticeCameroun

 
Qu’est-ce la Justice dans cette jungle tropicale?
 
Juste un parfait instrument de séquestration, de torture et même de meurtre en silence aux mains d’un horrible tyran; dont s’en servent également toutes celles et tous ceux qui lui font allégeance.
 
C’est cela le Cameroun sous la dictature de Paul Biya.
Marafa Hamidou Yaya 09 ans déention
 
FACE À CETTE MÉCANIQUE DE LA TERREUR PARFAITEMENT HUILÉE, IL FAUT ÉVITER LA COMPASSION SÉLECTIVE
 
Vouloir en effet trier les prisonniers politiques séjournant dans une prison spéciale comme celle du Secrétariat d’État à la Défense (SED) de Yaoundé, entre ceux qui en usurperaient la qualité parce que d’anciens dignitaires du régime de Paul Biya, et ceux qui la mériteraient parce que nouvellement internés et cadres ou militants affiliés au principal parti d’opposition de Maurice Kamto, c’est faire preuve de compassion sélective face à une mécanique de terreur tropicale qui ne fait pas dans la dentelle.
 
J’inviterais à cet égard tous les visiteurs des personnes récemment internées dans l’enceinte du Secrétariat d’État à la Défense (SED) à avoir une petite pensée en franchissant sa guérite, pour toutes ces personnalités qui y ont été séquestrées et celles qui le sont encore (dont le Pr. Titus Edzoa et Thierry Michel Atangana qui y ont séjourné 17 interminables années dans ses sous-sol, les Ministres Marafa Hamidou Yaya, Polycarpe Abah Abah et j’en oublie), aux humiliations et privations qui leur sont infligées, aux interdictions de visites essuyées par leurs proches…pour comprendre la mécanique bien huilée d’un système d’emprisonnement politique, et pourquoi des organisations comme la nôtre considèrent ces Hommes, indifféremment de leurs obédiences partisanes, comme des prisonniers politiques sous la dictature de Paul Biya.
 
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P) le fait en toute transparence sur la base de critères objectifs depuis sa création en 2014. Les détentions de la plupart de ces personnes sont d’ailleurs considérées arbitraires par les instances internationales comme l’ONU et l’UA.
 
Ce serait trahir notre mission si nous nous mettions à discriminer parmi elles, en excluant de nos listes celles des personnalités qui y séjournent sur la base d’accusations souvent fallacieuses de détournements de deniers publiques, suivies de parodies de procès. Alors que les mêmes soupçons de malversations financières sont brandies par leurs détracteurs du pouvoir contre certains membres éminents de l’opposition au régime en place, dont ils ont parfois fait partie dans le passé.
 
C’est dire si l’emprisonnement politique doit s’apprécier de manière désintéressée et objective, afin d’éviter précisément de faire le lit des rumeurs, des ragots et autres insinuations colportées par des adversaires politiques; mais surtout de couper court à tous les procès de favoritisme émanant de personnes qui ont une approche partisane, sectaire et souvent tribale de la gouvernance comme c’est malheureusement fréquent au Cameroun.
 

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« POUR UNE JUSTICE ÉQUITABLE POUR TOUS

Le courage exceptionnel des femmes camerounaises...sur l’endettement illégitime accumulé par la dictature de Paul Biya auprès des bailleurs internationaux
 
Il y a longtemps que nous militons en faveur d’un véritable embargo financier international contre le régime tyrannique de Paul Biya, doublé de sanctions ciblées sur ses principaux membres.
 
L’argent des bailleurs de fonds internationaux n’a en effet été d’aucune utilité à ce pays depuis 40 ans, ni en infrastructures ni en développement humain; et ils le savent tous, hypothéquant délibérément l’avenir de générations successives de Camerounais avec un endettement insoutenable et surtout illégitime.
 
Ça suffit!!!
 
Détournements allégués des fonds Covid: il faut arrêter de penser que la terre entière en voudrait au seul Cameroun et ternirait délibérément son image sur un fléau qui gangrène les différentes sociétés africaines….
 
La vraie différence c’est que partout ailleurs, y compris sur le continent africain, la justice peut mener des investigations véritablement indépendantes sur les malversations financières entourant les fonds alloués pour endiguer la Covid 19, et aboutir à la manifestation de toute la vérité au terme de procès réellement équitables.
 
Impossible au Cameroun!
 
La Justice y est aux ordres de Paul Biya qui allègue désormais de la « présomption d’innocence » pour protéger des proches collaborateurs et leurs relations empêtrés dans le scandale sur le détournement des fonds covid; cette présomption d’innocence qu’il a précisément toujours dénié à ses victimes innocentes successives depuis 40 ans, dont Marafa Hamidou Yaya
 
Marafa 09 ans de détention arbitraire

LE RÈGNE DE L’ARBITRAIRE

Pour priver Marafa Hamidou Yaya, de liberté , et l’éliminer complètement de la compétition politique , la kleptocratie de type mafieux qui tient lieu de gouvernement au Cameroun , n’a rien trouvé d’astucieux , que de lui appliquer deux jurisprudences hors la loi , dont une camerounaise , est obsolète puis hors d’usage depuis 1967, parce que dissoute ou sabordée , et l’autre datant de 1902 à l’époque en vigueur en France , et en relation avec l’abus des mineurs , et conséquemment sans objet , et donc étrangère au dossier traité . On condamne un homme sur la base d’une loi , ayant juridiction en France , à l’époque où l’État du Cameroun en tant que tel n’existait juridiquement pas .

C’est comme si on faisait appel, à une loi du terrorisme , du reste hors d’application parce qu’abrogée , pour servir de précédent ou de jurisprudence , dans un procès traitant d’un accident de travail , ou d’un faux en comptabilité.

LE COMBAT CONTINUE!!!!

 
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LA CONSTANCE DE LA RECONNAISSANCE DU MINISTRE D’ÉTAT MARAFA HAMIDOU YAYA COMME PRISONNIER POLITIQUE PAR LES RAPPORTS SUCCESSIFS DU DÉPARTEMENT D’ÉTAT AMÉRICAIN DEPUIS 2012:
 
 
POLITICAL PRISONERS AND DETAINEES –
 

« There were reports of newly identified political prisoners or detainees, but no comprehensive or accurate statistics were available. Political prisoners were detained under heightened security, often in SED facilities and at the Principal and Central Prisons in Yaounde. Some were allegedly held at DGRE facilities. The government did not readily permit access to such persons.

There were allegations that the government falsely charged peaceful dissidents with violence, including former presidential candidate Maurice Kamto. In a statement signed in March, Kamto and four of his supporters, including campaign manager Paul Eric Kingue, Albert Zongang of the La Dynamique political party, Penda Ekoka of the Mouvement Agir, and popular singer Gaston Philip Abbe, popularly known as Valsero, all of whom were detained at the Kondengui prison, claimed they were political prisoners, along with their 160 supporters in other prisons throughout the country.

On October 3, President Biya announced the pardoning of 333 lower-level Anglophone detainees, and on October 5, the Military Tribunal ordered the release of Kamto and hundreds of his associates.

Former minister of state for territorial administration Marafa Hamidou Yaya, who was convicted in 2012 on corruption charges and sentenced to 25 years’ imprisonment, remained in detention despite a June 2016 decision of the UN Working Group on Arbitrary Detention describing Marafa’s detention “a violation of international laws.” The government did not respond to repeated requests for members of the diplomatic community to meet with Marafa. »

 
 
Country Report on Human Rights Practices 2019 – Cameroon
 
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LA MÉMOIRE PARTICULIÈREMENT COURTE AU PAYS DE L’EMPATHIE SÉLECTIVE, PARTISANE, VOIRE TRIBALE…

Depuis que nous publions cet appel hebdomadaire à la libération de Marafa Hamidou Yaya et tous les prisonniers politiques camerounais, nous observons comme toujours du coin de l’œil l’étrange silence de celles et ceux qui ont la fâcheuse habitude de réduire l’embastillement politique au Cameroun aux seuls militants, sympathisants et cadres de leurs familles politiques…considérant sans le dire explicitement que ceux des dignitaires du régime en place qui comme Marafa Hamidou Yaya, croupissent dans son goulag du Secrétariat d’État à la Défense (SED) de Yaoundé sans bénéficier du moindre droit, l’auraient bien mérité…en raison entre-autre de leur « proximité sociologique » et/ou politique avec le dictateur Paul Biya.

Nous faisons quelque fois le constat suivant : si nombre de leaders politiques d’une certaine opposition, leurs militants et sympathisants réprimés injustement par le régime de Yaoundé, que nous avons toujours défendus sans la moindre hésitation, avaient connu le quart des sévices et dénis de droit subis par ces personnalités séquestrées arbitrairement au SED depuis des décennies …leur discours négationniste serait différent.

Tout de même, quel pays de faux-culs tribalistes, ce Cameroun!

LE DÉCÈS D’UN DÉTENU POLITIQUE ANGLOPHONE ENCHAÎNÉ SUR UN LIT D’HÔPITAL, LE COMBLE DE LA CRUAUTÉ HUMAINE

Biya Famille cruelle

Mettre définitivement fin à la sale guerre civile anglophone au Cameroun
 
Embargo généralisé sur les aides financières et sanctions ciblées avec blocage systématique de tous les avoirs à l’étranger contre tous les dignitaires de la dictature, leurs proches parents puis les idéologues ethno-fascistes clairement opposés depuis 06 ans à tout réel dialogue inclusif sur la crise anglophone au Cameroun.
 
Voilà clairement ce que nous proposons depuis octobre 2016 et espérons de la communauté internationale, plus particulièrement des autorités américaines.
 
L’administration Biden est indiscutablement sur la bonne voie.
 
Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques – CL2P

Blinken

QUAND ENFIN DIREZ-VOUS NON?

  • NON à une épuration politique menée sous le couvert d’une légitime lutte contre la corruption puis contre le terrorisme par «un pharaon valétudinaire et impotent; entouré d’un gouvernement de clowns, d’une société civile hélas malmenée, d’une opposition satellisée, d’un peuple plus fragmenté que jamais en tribus villageoises».

justice aux ordres 5

  • NON à une classe politique dite de l’opposition, finalement à l’image de la dictature en place, formatée à la soumission au « maître colonial » Français, accommodée aux détentions arbitraires sous couvert de la lutte contre la corruption des dignitaires les plus redoutés du régime Biya, et prompte à participer à des scrutins perdus d’avance puis à crier à la fraude avec un système électoral inchangé, complètement verrouillé, et dans un contexte de guerre civile à l’extrême Nord contre Boko Haram et au Cameroun anglophone.

REJOIGNEZ-NOUS DANS LA MOBILISATION CONTRE LA DÉTENTION ARBITRAIRE DE MARAFA HAMIDOU YAYA ET DE TOUS LES AUTRES PRISONNIERS POLITIQUES AU CAMEROUN

Ancien Ministre d’État chargé de l’administration territoriale et de la décentralisation, ancien Secrétaire général de la Présidence de la République, et sérieux prétendant à la Présidence du Cameroun. MARAFA HAMIDOU YAYA est incarcéré depuis le 16 avril 2012 dans la caserne de la Gendarmerie nationale située au Secrétariat d’État à la Défense (SED) de Yaoundé sous la fallacieuse accusation de «complicité intellectuelle de détournement de deniers publics». Le Département d’État américain, l’Internationale Socialiste, et plusieurs organisations de défense des droits de l’homme l’ont reconnu prisonnier politique et appellent à sa remise en liberté immédiate.

Grâce à notre mobilisation collective depuis le 10 février 2015, nous sommes parvenus à l’épuisement du volet interne de la procédure au Cameroun après cinq (05) longues années de paralysie. Redoublons notre mobilisation pour la libération effective du célèbre prisonnier politique MARAFA HAMIDOU YAYA après l’Avis contraignant rendu en ce sens par le Groupe de Travail sur la Détention Arbitraire de l’ONU, en interpellant directement les décideurs politiques et économiques du monde

1) Dès aujourd’hui prenez un selfie ou une photo de vous tenant une page de papier sur laquelle sera inscrit: Libérez Marafa maintenant / Free Marafa Now

2) Vous nous la faites parvenir par mail en pièce jointe à l’adresse suivante: freemarafa@gmail.com

3) Nous la publierons sur le site Instagram où nous avons ouvert un compte dédié à cette campagne (http://www.instagram.com/freemarafa/)

4) Avec toutes les photos de soutien que vous nous ferez parvenir, nous allons monter une frise qui sera rendue publique chaque début d’été sur le Parvis des Droits de l’Homme à Paris.

5) Nous partagerons notre action sur facebook, twitter, flickr et le site internet du Comité de Libération des Prisonniers Politiques (http://www.cl2p.org)

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MARAFA HAMIDOU YAYA, BIEN QU’EMBLÉMATIQUE, N’EST ÉVIDEMMENT PAS L’UNIQUE PRISONNIER POLITIQUE AU CAMEROUN. SA LIBÉRATION SONNERAIT LE DÉBUT DE LA FIN D’UNE VÉRITABLE CULTURE DU CRIME POLITIQUE DANS CE PAYS D’AFRIQUE CENTRALE

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Nous vous invitons à toujours mettre des noms et des visages derrières la propagande politique parfaitement huilée du régime en place au Cameroun depuis 37 ans, notamment lorsqu’il prétend mener une lutte sans merci contre la corruption et le terrorisme hélas souvent à tête chercheuse, faite d’accusations cousues de toutes pièces, de procès kafkaïens, et de condamnations arbitraires en cascade (les fameux procès à tiroirs).

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POUR LE CL2P VOICI QUI SONT LES PRINCIPALES VICTIMES DE L’ARBITRAIRE POLITIQUE ET JUDICIAIRE DERRIÈRE L’OPÉRATION DITE ÉPERVIER AU CAMEROUN:

Certains de ces dignitaires emprisonnés seraient peut-être les moins corrompus du système Biya

Comment prospère en effet ce fléau national? Précisément par la répétition en mondovision d’une grossière diversion et manipulation des esprits, consistant notamment à faire dire et croire que ceux qui ont été arbitrairement incarcérés comme tous ces prisonniers politiques témoigneraient d’un réel début de lutte contre la corruption au Cameroun…
 
Il n’en a jamais été ainsi et nombre de professionnels du droit puis des observateurs avisés le savent pertinemment…
Après toute ces décennies d’imposture de lutte contre la corruption je suis parvenu à la conclusion – notamment à la lecture des dossiers d’accusations et du suivie des parodies de procès – que celles des personnalités camerounaises et singulièrement membres du régime en place qui ont été jetées en pâture à l’opinion publique étaient certainement les « moins pourries » du système crapuleux en place et certaines l’ont précisément payé car encore dotées d’un certain sens de l’intérêt supérieur de l’État et de la chose publique…Là où les vraies crapules du régime ne s’en encombrent pas et bénéficient d’une impunité totale en parfait accord ou symbiose avec une logique institutionnalisée de corruption systémique.
 
Et tant que vous continuerez à entretenir l’illusion d’une lutte contre la corruption entreprise par un pouvoir mafieux corrompu jusqu’à la moelle, à travers l’emprisonnement arbitraire de parfaits boucs émissaires, vous n’en verrez jamais le bout du tunnel au Cameroun.
 
C’est comme ces ressortissants de ce pays qui, dans une curiosité morbide, m’ont parfois approché ces nombreuses années à l’idée qu’ils trouveraient les preuves de l’argent dont on leur a dit que mon père avait « volé » au Cameroun; et en sont repartis pour leurs frais presque déçus de n’avoir rien vu ou trouvé.C’est ainsi que prospère le mensonge systémique par lequel survit et se maintient une dictature aussi malsaine que celle de M. Biya, qui est parvenue à faire répéter y compris à ses détracteurs et opposants revendiqués des pans entiers de sa propagande mensongère.
 
Il faut surtout veiller à ne jamais rien devoir à un tel pays où vous pouvez être littéralement lynché par un mensonge systémique consciencieusement répandu par chacun, dans le secret espoir de plaire au dictateur et de « profiter de son système » crapuleux un jour en le reproduisant indéfiniment.
 
LES PRINCIPALES VICTIMES DE L’ARBITRAIRE POLITIQUE ET JUDICIAIRE DERRIÈRE L’OPÉRATION DITE ÉPERVIER
 

1. Marafa HAMIDOU YAYA

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2. Jean Marie ATANGANA MEBARA

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3. Urbain OLANGUENA AWONO

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4. Polycarpe ABAH ABAH

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5. Mohammed IYA, annoncé gravement malade

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6. Zacchaëus FORJINDAM

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7. Pr. Gervais MENDO ZE

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Mort en captivité le 10 avril 2021 du prisonnier politique Gervais MENDO ZE

Dans ce pays zombifié par un tyran sanguinaire et crapuleux de 89 ans c’est étonnamment son principal opposant qui fustige l’inhumanité de sa gouvernance clientéliste et tribale qui est aussitôt accusé de « tribalisme »….
 
Biya a véritablement transformé nombre de ses ouailles en zombies.
 
Pauvre Cameroun!!!
 
Il faut avoir le courage de dire que ceci est la conséquence dramatique de la perdition mortelle de grands commis d’administration qui ont d’abord voulu servir un grand frère du village ingrat, malhonnête et criminel à se maintenir frauduleusement au pouvoir.
 
Ce n’est pas la faute de Maurice Kamto!!!
 
 
 
« Aucune grâce présidentielle n’a été accordée au professeur très malade Gervais Mendo Ze.
Il est toujours gardé par des gardiens de prison à l’hôpital central de Yaoundé. »
 
De quel argent volé accusait-on Mendo Ze?
 
Selon le faux procès dont il était injustement accablé, on l’accusait d’avoir détourné 18 milliards à la Crtv.
 
18 milliards !!!!!
 
Si Mendo Ze avait détourné une telle somme, la Crtv n’existerait plus.
Quelle richesse avait Mendo Ze?
 
Je me souviens encore de cette modeste villa qui se trouvait à côté de notre domicile familial au quartier ebolebwang à Sangmelima, qu’il bradera 03 millions Fcfa pour régler ses frais de justice. »
 
Christian Ntimbane Bomo
Société Civile Critique.
 
Toute l’inhumanité d’une tyrannie: l’horrible manipulation politique sur une imaginaire grâce présidentielle pour un détenu politique qui n’était plus qu’une loque humaine…
 
Il n’empêche, des ouailles du tyran sanguinaire ont continué à nous abreuver avec leur refrain favori sur la « grande magnanimité de Paul Biya », à l’égard d’un de ses plus fidèles anciens collaborateurs Gervais Mendoze qui aura – entre divers services – littéralement sacrifié son propre fils dans une prison américaine dans les années 90 pour éviter une peine carcérale de 15 ans pour trafic de drogue à Frank Emmanuel Biya…Celui-là même qu’un certain microcosme flagorneur et alimentaire nous présente ces derniers temps comme l’unique Camerounais digne de succéder à son père à la tête du Cameroun.
 
Vous comprendrez que nous soyons parfois gagnés par le désespoir sur le futur de ce pays.
 

 

A défaut d’avoir reçu de son vivant la fameuse grâce présidentielle du croque-mort Paul Biya, le prisonnier politique Gervais Mendo Ze devrait donc se consoler avec sa gerbe de fleurs dans l’au-delà…
Quelle cruauté doublée de cynisme!!!😭😭😭

8. Achille ZOGO ANDELA

Achille_ZOGO_A.ANDELA

09. AMADOU VAMOULKÉ

vamoulké

10. Le leader séparatiste anglophone SISIKU JULIUS AYUK TABE, ainsi que ses neuf (09) co-détenus condamnés pour «terrorisme» et de «sécession» par le tribunal militaire de Yaoundé

Ayuk Tabe et co-détenus

11. MANCHO BIBIXY, Le leader de la «Coffin Révolution»,

MANCHO BIBIXY

Ainsi que tous les activistes anglophones séquestrés dans les geôles de la république du Cameroun à la suite de la rupture unilatérale du processus de dialogue sur la crise anglophone, puis de la déclaration et la poursuite de la guerre civile menée au Cameroun anglophone par le gouvernement de Paul BIYA.

prisonniersanglophones2

Voici la liste actualisée des détenus anglophones incarcérés à la prison centrale de kodengui à Yaoundé – Membres du Parlement Anglophone – après la libération vendredi 01 septembre 2017 de 55 autres, puis la dernière vague d’arrestations arbitraires consécutives à la révolte pacifique du 01 octobre 2017 (Source: Patrice Nganang)

1. Mancho Bibixy Che
2. Penn Terrence Khan
2. Conrad Tsi
4. Ngalim Felix Safeh
5. Aselacha Martin
6. Tamngwa Malvin
7. Yah Emile Agwe
8. Kingah Valentine
9. Aaah Dzenyagha Thomas
10. Esono Wakemba
11. Elobwede Van Kingsly
12. Bezeng Marvin
13. Nyuforam Eugene
14. Anyangawei Nelly
15. Bayong Eugene
16. Tayo Livite
17. Njinou Titus
18. Numfor Godloze
19. Wirba Bruno
20. Ngwa Kingsley
21. Fonyu Terence
22. Ngwa Joseph N.
23. Ade Kenneth
24. Fabian Vishigwo
25. Ayuk Ottu C.
26. Awanatowo Zack
27. Lopte Jacob
28. Fung Calemba
29. Atanga Durand
30. George N. Tang
31. Tangem Thomas
32. Bossi Vincent
33. Ngwa Louis
34. Fun Luther
35. Martha Fomuyong (female)
36. Germaine Dzenjo (female)
37. Esua Norbert
38. Kwalar Marvin
39. Musa Benjamin
40. Fongod Richard
41. Any Divine
42. Sunday Justus
43. Dobgima Frederick
44. Aaah Rostand
45. Nchotu Stephen
46. Taminang Ephraim
47. Atoh Benjamon
48. Kama Jude
49. Soh Raoul
50. Zemo Collins
51. Yarayem Paul
52. Nsoh Binda
53. Ambe Ivo
54. Akongwi Charles
55. Ngwa Peter
56. Nah George
57. Peter Sullivan
58. Tse Bruno
60. Ngu Gabriel
61. Mofor Ngwa
62. Aaah Godlove
63. Wemjeh Jude
64. Kwateh Edmond
65. Tita Georges
66. Ndifor Richard
67. Dzekashu Protus
68. Bangu Collins
69. Tension Leonard
70. Kahn Marcel
71. Boma Anthony
72. Fun Leslie
73. Tse Clarence
74. Akuma Desmond
75. Owen Smith
76. Cyril Berinyuy
77. Lendzemol Platini
78. Soh Gabriel
79. Tse Noel
80. Kingsley Lekumzy
81. Nfam Ivo
82. Bah Paulinus
83. Yuka Edward
84. Tsimungu Emmanuel
85. Eric Yufenyuy
86. Akembom Divide
87. Vintar Bertrand
88. Windzerem Clifford
89. Tikum Moses
90. Jonson Babila
91. Tanye Eric
92. Zobou Jean Claude
93. Mbah Stephen
94. Ernest Lontum
95. Fon Evaristus
96. Ndamen Julius
97. Ndeucha Jean Flobbe
98. Kpuyuf Etienne
99. Babila Vena
100. Nji Victor Tembe
101. Bang Ramsey Jafara
102. Tabju Noel Bobga
103. Fomusoh Ivo Feh

104. Fri Christelle
105. Simon Nde Che
106. Elijah Che Nde

Principal prison

1. Acha Constantine Atolambai
2. Myalum Gangti Gilbert
3. Nyonbella Bakery Feh
4. Atanga Celestine Ngu
5. Fr. Andrew Ambeazieh Ofembe
6. Nche Benjamin Amuabo
7. Mbuh Rene Nsuh
8. Such Funwie Paul Vincent
9. Tabe Edward Fomdoh
10. Fomuki Fabian Fomusuro
11. Kisob Bertin
12. Asah Patrick Ndangoh
13. Divine Yuyuh Dzekem
14. Tanwum Kechawa Sylva
15. Ndasi Alfred Ngyah
16. Dr. Eric Mom Take
17. Che Chi Joseph
18. Afuh Nivelle Nfoh
19. Azah Levis Gob

Tous sont membres du Parlement Anglophone de Kondengui, à Yaoundé

Anglophones au tribunal militaire

Nous nous insurgerons toujours contre les relaxes sélectives et continuerons d’exiger la libération inconditionnelle de tous les activistes anglophones séquestrés dans les geôles de la dictature de Yaoundé – dont le leader de « Coffin Révolution » MANCHO BIBIXY – à la suite du vaste mouvement de désobéissance civile observé dans les deux régions anglophones du Cameroun depuis le 11 octobre 2016.

liberez-les-prisonniers-politiques

12. Tous les militants, partisans, sympathisants de ce principal parti d’opposition encore détenus arbitrairement à la suite des manifestations et réunions publiques dites interdites, consécutives au contentieux post-électoral d’octobre 2018 ; puis des arrestations et détentions consécutives à la marche interdite du 22 septembre 2020 dont :

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FOGUE TEDOM ALAIN, Trésorier du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC)

Fogue

MOMO MATHURIN,

SIBIAP MODJE OMER,

BIBOU NISSACK OLIVIER, Porte-parole du Président du MRC Pr. Maurice Kamto

Bibou Nissack

DJOUFOU NGABO,

NITIDEM André,

NTIFALIA OBEN,

EWODO VENDELIN,

KAGHO KANA,

TAPIELE YOUDA STOMY,

TAPIELE DONGMO EDGARD,

TEFOBEAU GERARD Alain, FOUOMOUO DJOUMESSI, WOKAM NGUEWA, TCHITOUA Jean, POUOSI KAMDEM Emmanuel, KUATCHE Jean, NKAMNDAM NOUKEU Jean, WAMBA Bosco, ZANGUE Denis, KENNE Jean Fernand, MELI MANFO Ghislain, FOUEYE Xavier, WAFO Eric Sylvain, KOPWA DJENKOU Patrick, BAMOU Jean, TAKAM Louis, MBEH Gabriel, SOP TCHIEDJOU Jules, KAMDOUM Carlos, ZANGUE DOUANLA Thierry, LONTSI NGOUFFO, TAMOKOUE Charles, FOSSOUO Zacharie, Djontou Serge Honoré

FOUOMOUO DJOUMESSI Stève, TCHITOUA Jean, WAMBA Bosco, ZANGUE Denis, FOUEYE Xavier, NKAMNDAM NOUKEU Jean, BAMOU Jean Evalis, TAKAM Louis Bernard

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Ainsi que tous les ressortissants de la diaspora interceptés au Cameroun lors de cette contestation électorale, les journalistes, et lanceurs d’alerte incarcérés pour leurs liens supposés ou allégués avec le MRC. Dont :
1- Nana Nana Branco Serge
2- Kouam Alexis
3- Mutagha Tifuh Silvanus
4- Siewe Éric
5- Tchinda Mathieu Elvis
6- Tchatchoua Christophe
7- Nyayo Michael
8- Megaptche Ghislain
9- Domgmo Idris
10- Sitchou Sadio Sidoine
11- Wafo Jasmin
12- Yemga Thomas Serge
13- Tamonang Guy Martial

Nous demandons leur libération immédiate, sans autre forme de procès. Parce que dans aucun état de droit et sous aucune démocratie, manifester y compris sans autorisation, ne doit ou ne peut valoir de comparaître de la sorte devant un tribunal militaire, quel que soit le motif. À plus forte raison lorsque les prévenus sont des femmes et hommes politiques, ou des militants d’un parti politique légalisé, exerçant ses activités et revendiquant de manière pacifique le respect des suffrages réellement exprimés à l’issue d’un scrutin contesté, dans le cadre des institutions et des lois de la République du Cameroun.

rassemblement MRC Paris

L’URGENCE D’AGIR VITE CONTRE UNE DICTATURE QUI N’A PLUS L’ONCE D’UN RESPECT DE LA VIE HUMAINE

 
Il faut maintenant militer pour un isolement total de la dictature de Paul Biya de la scène internationale, notamment en faveur d’un conditionnement de l’aide des bailleurs de fonds internationaux à la libération immédiate des prisonniers politiques et à l’ouverture d’un dialogue inclusif sur la guerre anglophone.
 
Il faut parallèlement continuer à œuvrer pour un blocage systématique des avoirs des principaux dignitaires à l’étranger et mettre au plus vite en place un embargo sur les ventes d’armes au Cameroun.
 
Parce qu’on ne peut simplement plus abandonner les populations civiles camerounaises à la terreur répressive et meurtrière d’une dictature qui n’a plus l’once d’un respect de la vie humaine, et retourne son arsenal militaire uniquement contre ses propres ressortissants.
 
Ça suffit!!!
 
Notre conviction est que le Cameroun ne retrouvera un vrai chemin d’apaisement dans un processus démocratique consensuel que quand de réelles sanctions internationales doublées d’un embargo total sur les armes seront mises en application.

Biya tyran éternel

En démocratie, chaque voix compte….et il faut veiller à ne surtout pas mettre ce système politique extrêmement fragile entre les mains de personnes qui ne sont pas des démocrates.
 
C’est le principal enseignement à tirer de la situation américaine, et que nous connaissons ô combien trop bien en Afrique noire francophone.
 
UNITED

Monsieur Le Président BIYA, Libérez tous les prisonniers politiques du Cameroun, et Laissez tous les candidats – qui le veulent – postuler librement à l’investiture suprême. Il reviendra alors aux seul-e-s Camerounais-e-s de choisir en toute transparence le prochain locataire du Palais de l’Unité.

Marafa2

NOTRE SILENCE PARTICIPERAIT À LA BANALISATION DU CRIME POLITIQUE AU CAMEROUN

cl2p

Le Comité de Libération des Prisonniers Politiques (CL2P)

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http://www.cl2p.org

 

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