L’irrésistible besoin de l’Homme Camerounais de salir et médire inutilement son prochain

Je viens de retomber sur cet article particulièrement diffamant et calomnieux publié sur ma personne dans un journal en ligne du Cameroun.

J’ai déjà eu à exiger un droit de réponse à cette publication sans aucune suite.

Je devrais finalement me résoudre à envisager une action judiciaire en diffamation contre l’auteur en France, puisque ce monsieur que je ne connais guère (ne l’ayant jamais rencontré de ma vie) serait visiblement un ancien homme des médias Camerounais bénéficiaire d’un statut de réfugié en Italie, pays dont il aurait acquis la nationalité.

Cette triste habitude malsaine très répandue au Cameroun et dans ses diasporas consistant à ternir la réputation des personnes sur la base de la propagande mensongère répandue abondamment par la dictature sur elles ou sur leurs proches (comme c’est mon cas) par celles et ceux-là mêmes qui se prévalent d’en être les victimes…doit cesser.

Parvenu à l’âge que j’ai et avec le vécu qui est le mien, je peux affirmer sans craindre la moindre contradiction que je ne dois absolument rien au Cameroun dont je suis attaché sur un plan strictement affectif et familial. J’ai dû quitter ce pays à 15 ans depuis juin 1985 pour rejoindre mon pays de naissance et de nationalité qu’est la France auquel je dois objectivement bien plus que tous les autres où j’ai eu à vivre honnêtement en gagnant ma vie à la sueur de mon front (notamment les États-Unis d’Amérique, l’Australie et j’en passe).

J’ai sur ce plan la conscience tranquille.

Je vous remercie

Joël Didier Engo, Président du Comité de libération des prisonniers politiques – CL2P

http://www.cl2p.org

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